abducté abduction alien ovni invasion aliens andersonville attaque bouledefeu boycot israel burqa catastrophes cathares
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Actu. (28)
· Au commencement était l'émotion (26)
· Société (21)
· Histoire (12)
· OVNI (7)
· Edito (4)
c'est du à un imbécile de coq
Par Anonyme, le 26.02.2020
desembargadora sônia maria forster do amaral
denuncia: existe uma máfia nos leilões de imóveis do trt (tribu
Par milton+queiroga, le 30.09.2013
a máfia dos leilões judiciais
htt p://inaciovacc hiano.com/2013 /01/24/a-mafia -dos-leiloes-j udiciais-fimda
Par milton+da+cruz+que, le 04.02.2013
a máfia dos leilões judiciais
htt p://inaciovacc hiano.com/2013 /01/24/a-mafia -dos-leiloes-j udiciais-fimda
Par milton+da+cruz+que, le 04.02.2013
a máfia dos leilões judiciais
htt p://inaciovacc hiano.com/2013 /01/24/a-mafia -dos-leiloes-j udiciais-fimda
Par milton+da+cruz+que, le 04.02.2013
· Le Reniement de Saint Pierre
· Triangle de la Burle
· Y a du changement en Ethiopie
· Pour commencer; les Cathares
· Abductions
· Il veut sa place parmi les grands Illuminati...
· J'ai failli m'étouffer...
· Je crois qu'il y a un truc...
· Lumières en Norvège
· De toute façon il est perdu
· Une Egyptienne aux Saintes.....
· Nous avons peur d'eux
· Je suis pas pessimiste
· Journée de l'eau
· L IDEE PRESENTE DE LA FIN D UN CYCLE
Date de création : 07.03.2010
Dernière mise à jour :
31.07.2010
119 articles
Bien sûr je suis peut-être con. Vous ne me voyez pas chaque jour, moi et ma gueule de métèque. Donc pas de blèmes.
Mais là je suis étonné, il y a des cons j'entends des gens méchants, en plus salauds.
Des méchants salauds. Il faut une dose fabuleuse de saleté dans le crâne pour justifier un copain jugé pour injures racistes, et se permettre de dire ce que lui dit.
Bon je parle de.....
Il faut un minimum d'humanité pour être humain, croyant (oui mais en quoi?? En lui)
Il faut un minimum de rigueur et d'intelligence. L'orgueil et l'ambition ne suffisent pas à faire l'autorité du responsable....
Il est certain que pour tenir ce strapontin, il faut être abject, ignoble, et cruel...
Je suis un français de seconde zone, celui a qui on va enlever la nationalité.... Voltaire meurt à nouveau...
Je n'ai pas tué de policiers ni de gendarmes, mes ancêtres se sont battu pour la RPR "Religion Prétendue Réformée", et voilà ce que j'entends ce que je lis....
J'irais voter. Blanc car pour avoir ce droit, il a fallu des morts.
Vraiment j'ai la bile au bord des lèvres, les gens du voyage, les arabes, demain qui ?????
Imaginez que notre pays est dirigé par l'équipe de "foutre".
Je sais c'est tout un système qui génère cela....
Bon , ben centerblog va bloquer ce blog..... Ahlala la gestapo
Le Président à dit que les gens du voyage.....
Bon vous avez lu le truc. Il faut admettre qu'ils ont frappé fort et dans l'illégalité. Donc répression, sanctions, punitions. Logique.
de là à penser que tous les gens du voyage sont violent, méchant, etc...
La légende du voleur de poule...
Dans l'urgence coupable, le Président, s'est pris les pieds.
Il semble qu'il ne connaisse pas vraiment les "gens du voyage".
Ce sont pourtant des Français pour la plupart, et depuis de nombreuses générations.
vivent-ils tous dans des védrines, ou des caravanes??
Ont-ils une carte d'identité??
Existe-t'il une structure scolaire pour accueillir les enfants?
Une structure médicale??
En fait notre Président, cet européaniste convaincu, n'assume pas les conséquences des décrets de Bruxelles. Les "Roms", c'est à dire, ce que NS entend par "gens du voyage" venus de certains pays de l'Est peuvent voyager librement sur TOUT le terrotoire de l'EU, mais ne peuvent pas y travailler.
Cherchez l'erreur.
Et comme dans leur pays, ils sont traqué, et mal, très mal en point, ici ils ne risquent, ni les coups, les pogroms, les attaques en règle.
Il suffirait de les mettre aux champs ou la vendange....
Mais il est plus profitable de prévenir une éventuelle campagne politique en allant bagenauder vers les jardins d'extrême droite.
C'est terrible. le quartier que j'habite est assez populaire; des immeubles de 4 étages et le joyeux vacarme habituel.
Les appartements sont aménagés avec un petit balcon entouré de petits piliers de ciments préfabriqués qui supportent une rambarde de ciment.
Il y a deux jours au quatrième étage d'un de ces immeubles, une dame vient rendre visite à une parente ou une amie, que sais-je.
Son petit garçon de 3 ans environ l'accompagne.
Il va jouer sur le balcon, les discussions des grands c'est ennuyeux, puis il faut bien se tenir.
sur le balcon, un peu de liberté et d'air pur.
Pour regarder mieux l'avenue, il se glisse entre les piliers , et l'absurde atroce vient. Le petit garçon chute de quatre étages et vient mourir sur le trottoir.
Absurdité atroce....
Quel fut l'étonnement de ce gamin durant les 3 ou 4 secondes de sa chute??
Quelle vie pour les parents après ce drame ???
Pourquoi doit-il mourir si jeune???
Il est des évènements qui me coupent les jambes.
Il avait peut-être un avenir. Les questions se bousculent et les réponses pas.
La mère va porter la culpabilité sa vie entière. Le père comment va-t'il supporter cela.??
Une vie partie, deux vies fichues!
Admettons que les desseins de dieu sont impénétrables...
Il y a dans cet évènement un aspect de l'absurde qui me dérange fondamentalement.
En fait, pourquoi tolérer que nos vies soient ainsi??
Ne pourrions nous nous organiser pour une manif. qui demanderait des comptes à dieu??
Dieu créateur de toute choses même du mal....
Quand on arrive à nos maisons, d’abord il y a la maison de mon papa et de ma maman. En face sur la faïsse, il ya le jardin de mon papa et à côté celui de mon pépé.
Après il y a la maison de Marceau et de Louisette. Louisette c’est la sœur de Marceau. Elle voit pas clair. Ma mémé, elle dit que Louisette elle a mis des cristaux dans ses yeux. La soude a brûlé sa vue.
Derrière chez nous, il y a la cour puis la maison de mon pépé et de ma mémé.
L’été il y a la vigne qui couvre tout. C’est bien, il fait frais.
Après l’aire, on voit la maison des gens qui viennent pas souvent. Quand il parle du monsieur mon pépé il dit « le receveur ». Ils viennent parfois au printemps, parfois à l’automne. Ils ne nous parlent pas beaucoup.
Juste à côté il y a la maison de madame Pérrier. Elle vit avec sa maman. Mais le Francis, il m’a dit un secret. Sa maman, à madame Pérrier, elle est morte depuis longtemps. Mais elle la garde dans le lit pour que son frère qui est à Clermont, il touche pas à son or et à son argent. C’est pour ça qu’on ne la voit jamais sa maman à madame Pérrier. Le Francis il me dit ses secrets. Il habite avec ses parents dans la maison à côté du vieux monastère. C’est Marceau qui dit que la maison de Teysonniere, avant c’était un monastère. Et puis il y a la maison de la mère Girard. J’aime pas la mère Girard. Elle est catholique. Même que ma mémé, elle dit que madame Girard elle vote à droite.
La mère Girard c’est la mémé de Marielle. Marielle elle vient pendant les vacances. Elle habite pas ici.
Marceau il est très vieux parce qu’il a pas fait la guerre de 14 comme mon pépé, quand il devait être soldat il est parti en haute Silécie. Ma sœur elle nous a dit que ce pays c’est près de la Russie. Les guerres contre la Russie c’est avec Napoléon. Marceau il a fait la guerre avec Napoléon.
J’aime bien quand il rit Marceau. Ma mère elle dit que Marceau il boit beaucoup. Nous aussi, avec le Francis on boit beaucoup, surtout quand on court l’été et qu’il fait chaud. Ou bien quand on reste à notre cabane qui est dans la châtaigneraie de mon papa.
Marceau parfois il pleure doucement. Un jour que c’était la vendange, j’avais aidé mon pépé au pressoir tout le matin, après midi j’avais écouté la TSF chez lui, j’ais dormi sur le fauteuil d’osier de la Louisette et j’ai vu que Marceau il pleurait doucement dans ses mains. Mais je l’ai dit à personne sauf au Francis.
Un jour que nous mangions dans la cour devant chez mon pépé, avec la Louisette aussi, il a parlé de Bonpapa et de Bonnemaman. Il pleurait un peu le Marceau. Bonpapa et Bonnemaman c’est les parents de mon papa. Je ne les ai jamais vus. Mon papa il a beaucoup voyagé pour faire la guerre. Il est parti en Espagne, puis en Angleterre. Et aussi en Allemagne.
Quand il est revenu il n’y avait plus ses parents. Il reste une photo sur la commode dans la chambre de mon papa et de ma maman.
Au village il y a la poste, les écoles, la mairie, l’église des catholiques, et le café de la maman à Jules. On l’appelle « La Bulle », il rêve tout le temps.
Derrière le café et l’église, il y a le château. Mon pépé il dit le château du « baron d’argent court ».
Moi je crois pas que c’est un baron. Parce que Marceau quand il a parlé de Bonpapa et de Bonnemaman, il a dit « C’était le marquis ».
Les parents de mon papa ils sont partis, Marceau il dit que c’est une gaffe des Allemands. Bonpapa et Bonnemaman ils étaient partis quand mon papa est revenu de la guerre. Ils sont partis si loin qu’ils peuvent pas revenir. Moi je sais qu’ils existent.
J’ai dit un secret l’autre jour au Francis. Lui il sait pas ce qu’il ferra quand il sera grand. Moi je lui ai dit que je ferrais comme mon papa, j’irais travailler à la mine. C’est pas loin cinq kilomètres par la route, mais si on coupe par la châtaigneraie, puis le pré du Rouveyrolle, ben on gagne au moins la moitié.
Je travaillerais à la mine, je m’occuperais du jardin de mon papa et de mon pépé, peut-être aussi de celui de Marceau, il est juste à côté. J’aurais des lapins et des poules comme lui et trois chèvres comme mon pépé.
Quand je rentrerais de la mine, je mangerais des tartines avec la confiture de ma mémé. C’est les meilleures confitures. Un jour j’ai goûté chez la mère Girard, elle est pas bonne sa confiture. Pas comme celle de ma mémé.
C’est vrai qu’à la mine parfois c’est dur, mon papa il dit que les précipités ils savent plus où les mettre. Marceau il rigole, il dit qu’il faut pas traiter le minerai ici.
Avant ils descendaient le minerai sur des charrettes tirées par des chevaux jusqu’à la gare d’Alzan.
Maintenant cette drailhe on y passe plus. Deux fois j’ai été à la ville avec ma mémé en passant par là. On marche sous les arbres, il doit y avoir des bêtes qu’on ne voit pas, mais on les entend. Elles marchent dans l’ombre. Ma mémé elle voulait aller à la ville pour acheter des choses chez la mercière. L’épicier qui vient chaque semaine, il apporte rien de la mercerie.
A la ville il y a au moins quinze magasins. La papeterie, la mercière, le boucher, deux boulangers. Un c’est mon parrain, le frère de ma mère. Je le vois pas souvent parce qu’il travaille quand on dort et il dort quand je vais à l’école.
Il ya aussi la quincaillerie, le magasin de vêtements, il ya deux cafés. Et puis les autres j’ai oublié. Ils sont sur la place du marché. Il faut passer sous le porche et monter. Ma mémé elle n’a rien à acheter par là-bas.
Deux fois j’ai été à la ville avec ma mémé en passant par la drailhe. Le plus embêtant c’est quand on trouve la route au col de Cabridiès. Il faut marcher sur le mac adam.
Ma mémé elle a dit bonjour au pasteur. Avant il venait jusqu’à nos maisons, maintenant il vient plus.
Un jour qu’il y avait du brouillard, il est arrivé. D’abord j’ai cru que c’était mon papa, ils ont la même auto. Il est entré chez mon pépé et ma mémé. Il a dit quelque chose ; mon pépé il a tapé sur la table avec la main ouverte, il a dit « Miladiou. J’ai été en Afrique faire la guerre. Si vous aviez vu ce que j’ai vu, vous sauriez que dieu n’existe pas ». Il m’a pris par la main et on est sorti. Il a croisé mon écharpe sur la poitrine puis il l’a accrochée dans le dos.
On est parti à son jardin. Marceau il devait s’ennuyer car il est sorti. Trop vite sans doute, il s’est tombé. Il a crié « Oh ! Meynel. Tu vas ?? » Alors mon pépé il a dit « Adiou Marceau ? Ca va et toi ?? ».
Marceau il a rigolé. J’aime bien quand il rit Marceau. On a coupé l’herbe pour les lapins de Marceau et mon pépé il a donné le grain aux poules.
Quand le brouillard il vient, c’est fini les beaux jours. Déjà on a recommencé l’école. Il faudra aller aussi au temple pour l’instruction religieuse. C’est loin le temple. J’aime pas y aller. On y va tous les trois. Le Francis et moi on s’arrête au village, on va chercher la Bulle puis on va au temple.
La maman de la Bulle elle a proposé à ma maman de faire un repas ensemble. Je sais que mon pépé ne viendra pas. Il restera avec le Marceau à nos maisons.
Les grands repas de grandes personnes c’est pas rigolo. Avec ma sœur on s’ennuie. Puis en ce moment les grandes personnes elles parlent tout le temps de l’allergie. Je sais pas où c’est l’allergie, mais ils voudraient faire la guerre. Le papa du Francis il a dit à mon papa « ne t’inquiète pas, je crois qu’ils ne vont pas appeler les réservistes ». Mon papa il peut pas partir à cause des précipités, ils savent plus où les mettre. Et le papa au Francis, lui il s’occupe du magasin. Même qu’il donne de la dynamite. Avant Marceau quand il est revenu de la guerre avec Napoléon, il mettait la dynamite au fond de la mine, puis il partait vite en courant parce que la dynamite explosait.
Il rigole Marceau en disant « Tout ça pour de l’alquifoux ». Je sais pas ce qu’il font avec ce minerai.
Ils n’en parlent jamais à la TSF de l’alquifoux. Ils parlent d’une fusée qui fait « bip bip ». Mais on la voit pas dans le ciel la fusée. Et ils parlent de l’allergie.
Soyez humains évitez les légumes qui viennent d'Israël. Les fruits , tout.
Boycottez aussi les firmes qui soutiennent Israël ou qui possèdent des capitaux Israëliens.
FAITES CIRCULER MASSIVEMENT CET APPEL
Hier soir, dans la rue, des hommes chantaient. Il y a un mariage dans mon immeuble, et ces hommes étaient là pour chanter des poèmes et des louanges au dieu. Je n'ai guère compris les paroles, mais elles ne s'inscrivaient ni dans l'inquiètude, ni dans la dynamique du provisoire.
Ce qui était important, ce qui me semblait important c'était la force et la puissance de ces chants.
Les chants sont indispensable à l'humain. Sur les stades les gens chantent, pour aller au massacre les gens chantent, même pour mourrir les gens chantent.
Ces chants dans la nuit faisaient de longue routes vers les étoiles.
Le soliste lançait un pont et les répons du choeur étayaient le chemin. Parfois de longues arabesques s'enroulaient sur le temps passager pour le retenir. Le marteau sans cesse frappait la peau du tambour, sans jamais changer de ce rythme lanscinant.
Les répons étaient puissants, vigoureux, porteur de vie.
Le soliste jetait des balises vers l'univers infini.
De longs chemins d'espoirs se perdaient vers des ailleurs souhaités...
Quand ils sont partis la nuit étaient un peu plus noire!
Après 15 jours de mouscaille grise et de pluie, mistral, pardon mistraou...
Solelh, on revit!
Et le midi que l'on devait manger à; 3 mes amis et moi, top, deux couples d'amis à eux arrivent.
Le rosé sous les feuilles du marronnier, les femmes qui parlent, les hommes veulent faire bonne figure....
C'était vraiment un moment arraché à l'éternité.
Et puis qu'importe ce que l'on mange, l'important est la fraternité partégée.
C'est formidable quand on mange ensemble, la fraternité vient.
Et cet arbre de balancer ses feuilles, le soleil une fois pour elle l'autre fois pour lui. Les oiseaux à redingote qui discutaient sur le fil électrique, leur vol inpertinent vers le garage voisin.
Le clocher qui s'agitait toute les heures pour nous faire souvenir que le temps passe.
Après le rosé, et bien le café...
Mais "y reste un peu de vin??"... et que de se quitter c'est dur..
De rester ensemble semble prolonger la vie.
Et puis il ya toujours le "Hé, tu te souviens quand...",ou le "Ho pôvre la mère....". Ben ma mère, elle a les oreilles qui sifflent....
Mais voila nous nous sommes quitté.
Regret d'une journée.
Voila c'est un con. C'est mon ami. Il est Arabe.
Un jour je l'ai reçu chez moi, je lui ais dit "voila, il n'y a rien, toi tu vas tout faire"
Alors il a bu le thé. Pas au "Café de l'Univers",puis il a pris les manettes.
Oui "Café de l'Univers", Obama cette crapule, a dût le détruire là au Yémen.. Oui vous comprenez"on n'est pas sérieux..."
Bon je parle de mon pote Youssef
Et je veux rendre hommage a Youssef. Moi qui gueule de tout, de rien, lui il a pris les manettes et grâce à lui aujourd'hui "notre" site, son site est en première page de google. Youssef
Merci.
C'est vrai c'est con lui faire un cadeau comme cela c'est en fin de carrière que cela aurait dû venir.
Non il est venu, avec ses 23 balais et roule bamboule.
YOUSSEF MERCI ATTENDS; CHOKRANE ANTA
C'est étrange de partir. Faut enlever les meubles, les grosses choses qui sont lourdes. Il faut ranger dans des cartons!
Pour ce qui est courant, c'est pas grand chose ces choses. on les voit tous les jours ou souvent alors on les voit encore ces choses. c'est plus embêtant pour les choses qu'on voit pas souvent. Elles sont pas propre d'un souvenir qui reste attaché. Mais il faut l'emballer cette chose et son souvenir qui pègue.
L'ennui c'est quand tout est parti ou presque alors là, il y a un charroi de petites choses sans importance. Un bout de papier avec un numéro de téléphone griffoné, un vieux calendrier du temps passé. C'est, ces petites choses auxquelles on accroche des souvenirs de misère. qui chagrinent. On est là les mains pleine de poussière et on a le coeur à l'envers pour des petites choses indigentes.
Un journal oublié qui raconte un fait divers perdu qui était si important avant.
'tin le bracelet de perles que ma fille a fait quand elle était à la maternelle dans la classe de.... Ah! oui dans la classe de qui? 'tin j'ai oublié.
....et ça devient important, ce souvenir indigent.
Un vieux ticket de train quand ils étaient encore petits en carton rose. Ah! j'allais où ? Une destination qui devient un voyage.
C'est incroyable ce qu'elles deviennent lourdes ces petites choses indigentes qui font misère au coeur.
Pas de quoi fouetter un chat ..... Depuis 6 semaines cette photo est en 10ième page de google rubrique "image+drapeau français".
Un agglomérat de blog qui sentent bon, ont monté cette "histoire" en épingle. Cette photo a été primée lors d'un concours organisé par la FNAC de Nice... Pas de quoi en faire une histoire....
Tiens le drapeau français; une histoire. Mon grand-père me disait qu'en 1918 lors du retour du front, il avait vu de nombreux soldats amputés. Il ajoutait; "Le drapeau français; trois couleurs. Et des couleurs qui tranchent"
Il disait ça mon pépé.